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ÉCOLE DE
MAISTRANCE
École des métiers de la Marine, l'École de maistrance incorpore et forme les futurs officiers mariniers.
- Accessible dès le Bac ou après un diplôme de l'enseignement supérieur, l’École de maistrance est une formation militaire et maritime de 5 mois suivie d’une formation métier de 6 à 10 mois.
- Chaque année 1200 jeunes sont formés pour devenir officier marinier (sous-officier de la Marine) et …
- … débuter dans la Marine un parcours de technicien et de chef d’équipe
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Cécile
21 ans
Navigateur timonier
« J’ai fait une Préparation Militaire Marine qui m’a permis de comprendre le fonctionnement de la Marine. Dans la foulée, j’ai posé mon dossier pour l’École de maistrance. Ce que je cherchais dans la Marine, c’est cet esprit de solidarité ! »
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Rémi
28 ans
Élève maistrancier
« On est là pour réussir, peu importe le classement, le but du jeu c’est que tout le monde réussisse. À Maistrance, j’ai appris à être plus rigoureux. En école de spécialité, je vais être formé pour devenir personnel navigant tactique. »
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Yassin
24 ans
Technicien aéronautique
« On a la chance de travailler sur du matériel de haute technologie. Ce qu’on installe sur l’avion doit être fiable et sûr. Je me considère comme un maillon de la chaîne opérationnelle. J’ai gagné une certaine confiance en moi et une certaine technicité dans mon travail. »
12 domaines d'activités
48 spécialités
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I.
Nucléaire
Le nucléaire est une filière d’excellence de la Marine nationale. Second exploitant nucléaire en Europe, la Marine maîtrise l’utilisation de l’énergie nucléaire depuis plus de 40 ans. Riche d’une grande diversité de métiers et de savoir-faire, la filière du nucléaire est essentielle à la mise en œuvre des sous-marins et du porte-avions.
Les marins du nucléaire, la maîtrise de l’énergie
Certains assurent la production, la distribution et la maintenance des énergies mécaniques, élec-triques et nucléaires. D’autres maîtrisent les risques nucléaires, radiologiques, bactériologiques et chimiques, etc. Tous permettent de maintenir les capacités opérationnelles pour durer à la mer.
- Surveiller les installations de production, de transformation et de distribution d’énergies, et réaliser les opérations de maintenance préventive et corrective ;
- Conduire, surveiller et réguler, depuis un poste de commandes centralisées, une chaufferie nucléaire embarquée ;
- Apporter une expertise au commandement sur l’exploitation et le maintien en condition opérationnelle.
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II.
INFORMATIQUE / CYBERSECURITE
L’espace numérique est en pleine expansion ; compte tenu de ses caractéristiques, des menaces qui s’y développent et des dommages que des cyber attaques pourraient y produire, il est devenu un réel enjeu de souveraineté nationale. De l’analyse à l’action, les compétences SIC et cyber recouvrent des domaines très larges.
SIC/CYBER : un domaine d’action prioritaire
La filière SIC/CYBER s’inscrit dans le cadre de la stratégie nationale de défense et de sécurité. Les marins de ce domaine installent, configurent et assurent la maintenance opérationnelle des moyens télécoms.
- Assurer le traitement, l’acheminement et la transmission de l’information, et réaliser la maintenance opérationnelle des moyens télécoms, du réseau local et des ordinateurs de bord ;
- Administrer les réseaux, assurer la maintenance des systèmes de télécommunications et du matériel informatique ;
- Réaliser l’audit, les tests d’intrusion, la supervision et la protection des systèmes d’information, la détection et recherche de compromissions.
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III.
NAVIGATION ET MANŒUVRES
Qu’il s’agisse des manœuvres à effectuer en mer ou à quai, de la route à établir ou de la météo à prévoir, ces activités requièrent une solide expérience du milieu maritime et des bateaux. Sou-vent exposées aux éléments, elles doivent conjuguer réactivité, rigueur et précision.
La mer : un espace exigeant et fascinant
Bien que les navires disposent aujourd’hui d’une propulsion autonome, les équipements faisant appel aux savoir-faire des personnels en charge de la navigation sont encore nombreux. Ces sa-voir-faire sont primordiaux dans la Marine nationale car ils contribuent à la mise en œuvre des tactiques opérationnelles.
- Participer à la conduite des navires et assurer le bon déroulement des différentes manoeuvres : accostage, appareillage, mouillage, etc ;
- Déterminer la position du bâtiment à l’aide des instruments de navigation et tenir à jour les cartes et documents nautiques ;
- Mettre en œuvre et piloter les embarcations et engins nautiques (remorqueurs, zodiac, hydrojets…).
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IV.
OPERATIONS NAVALES
A bord des bâtiments, les "Opérations Navales" concernent la conduite des opérations dans les différents domaines de lutte, les transmissions et le suivi de la navigation. Leur action porte sur les systèmes d'informations, les systèmes d'armes, la défense aérienne ou sous-marine.
Au cœur des opérations navales
Les marins de cette filière mettent en œuvre les dispositifs nécessaires au repérage des dangers autour du navire et à la mise en œuvre des armes : détection aérienne (radar), marine et sous-marine (sonar), guerre électronique, mise en œuvre des systèmes d’armes, administration des réseaux et systèmes de télécommunications.
- Observer les mouvements autour des unités de la Marine, identifier les menaces, réagir immédiatement en cas de besoin ;
- Assurer la mise en œuvre des moyens acoustiques, des installations de détection sous-marine, de lancement d'armes et de traitement de l'information ;
- A terre, contrôler le trafic maritime dans les eaux territoriales (respect du droit maritime) et participer aux missions de service public (sauvetage).
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V.
AERONAUTIQUE NAVALE
L’alliance des airs et de la mer, c’est ce qui résume l’ADN des équipages de l’aéronautique navale. Les aéronefs (hélicoptères, avions de chasse, de patrouille et de surveillance maritime) offrent un spectre très large de métiers, alliant passion de l’aéronautique et esprit d’équipage.
Marin du ciel : Allier la connaissance de la mer et la maîtrise de l’outil aéronautique
C’est cette double compétence qu’offrent les carrières dans l’aéronautique navale : la tête dans les nuages, mais l’esprit concentré sur et sous les mers du monde, en complément des forces à la mer (sous-marins et bâtiments de surface), ou sur terre (commandos).
- Mettre en œuvre des avions et des hélicoptères de la Marine nationale et réaliser la maintenance des aéronefs, à terre et sur des bâtiments en mer ;
- Identifier, suivre et guider les avions et hélicoptères qui évoluent dans l’espace aérien afin d'assurer la sécurité du trafic ;
- Conduire des opérations pour la maîtrise de l’espace aéromaritime.
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VI.
MECANIQUE ET MAINTENANCE NAVALE
Le domaine de la mécanique et de la maintenance navale regroupe les métiers qui assurent la sécurité, le contrôle et la réparation de tous les équipements d'un bâtiment (sous-marins, bâtiments de surface, aéronefs). Ces marins sont opérationnels en mer à bord des unités, ou bien à terre dans les centres de maintenance.
Mécanique et maintenance : sécurité, contrôle, réparation
Les personnels chargés de la mécanique et de la maintenance navale exercent des fonctions de conduite, de maintenance des installations de propulsion et de production d'énergie des navires ou des sous-marins.
- Exploiter et entretenir les réseaux de production et de distribution électrique, nécessaires à la propulsion, à la navigation et à la vie courante ;
- Analyser et identifier les pannes selon la méthodologie adaptée et mettre en œuvre les solutions correctives ;
- Orientation possible vers la filière nucléaire pour accéder à des postes à haute compétence technique à bord des sous-marins et du porte-avions.
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VII.
RESTAURATION
De l’élaboration des menus jusqu’au service en salle, la restauration sur un bâtiment est un maillon essentiel du maintien du moral d’un équipage.
Au service de l’équipage
Les gérants d’établissement de restauration collective polyvalents sont en charge de la gestion des vivres, de l’élaboration et de la supervision des repas. Garants également de l’hygiène alimentaire, les personnels de restauration peuvent se voir confier de nombreuses missions.
- Elaborer les menus et superviser la préparation des repas dans les différentes structures de restauration ou sur les bâtiments de la Marine (Bâtiments de surface, sous-marins, etc.) ;
- Assurer la gestion des approvisionnements en vivres et le service en salle ;
- Dans le cadre des missions de représentation de la Marine, préparer et organiser des réceptions.
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VIII.
SOUTIEN
Les marins du soutien ont vocation à assurer le bon fonctionnement des unités à terre et en mer. Responsables des finances, du matériel ou du suivi de la carrière des marins, ils sont un maillon essentiel du bon fonctionnement d’un équipage.
Marin du soutien : gestion et conseil
Embarqué ou à terre, il est celui auprès duquel tout marin peut se renseigner et être conseillé pour ce qui concerne les aspects administratifs de son engagement. Postes dans les domaines des ressources humaines, la logistique, la comptabilité …
- Suivre le personnel en termes de carrière (notation, avancement, formation,) et de gestion comptable (soldes, indemnités de déplacement, retraites) ;
- Tenir à jour la documentation relative aux budgets et aux dépenses ;
- Gérer les stocks de matériel et de fourniture, et participer si nécessaire aux processus d’achats publics.
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IX.
PROTECTION & SÉCURITÉ
La surveillance des sites sensibles (arsenaux, bases de l’aéronautique navale, etc.) et des bâtiments (porte-avions, frégates, etc.) de la Marine nationale est indispensable pour assurer la pro-tection et la sécurité des infrastructures et des personnels en service. Ce domaine d’activité in-tègre également dans ses missions, la prévention et l’intervention sur tous les sinistres (incendies, agressions bactériologiques et chimiques, etc.).
Assurer la sécurité des personnes et des biens
Au-delà de la protection de l’équipage et du matériel, ils veillent au respect de l’ordre et des consignes de sécurité. Ils participent directement aux différents entraînements et à l’aguerrissement de l’équipage.
- Prévenir les risques, assurer la sauvegarde des personnes et du matériel contre tout type de sinistre et le navire contre les intrusions extérieures ;
- Assurer la protection des bâtiments contre les intrusions extérieures et effectuer des interventions pour lutter contre les actes de malveillance ;
- Possibilité avec la spécialité Fusilier de devenir Maître-chien ou de postuler au stage commando.
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X.
PLONGÉE
Embarqué ou basé à terre, le plongeur démineur ou plongeur de bord est un spécialiste de la plongée, qu’elle soit « autonome » ou en scaphandre, à l’air, aux mélanges suroxygénés ou à l’oxygène pur.
Plongeur : spécialiste de sous la mer
Les plongeurs participent à la neutralisation des engins explosifs détectés en mer et dans les ports. Au-delà de cette mission, les marins spécialistes de la plongée contribuent également aux travaux sous-marins en général : soudure, assemblage et découpage de structure métallique, déblaiement des accès portuaires.
- Rechercher, identifier et neutraliser les engins explosifs détectés en mer et dans les ports ;
- Participer à des opérations de déminage à l’étranger et à des actions de service public ;
- Assurer des travaux sous-marins (soudure, assemblage, etc.).
Les étapes
d'inscription
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Premier contact avec la Marine Nationale
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Première rencontre avec un conseiller
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Ouverture du dossier de candidature
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Entretien de pré-sélection
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Tests d'aptitude
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Acceptation du dossier
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Formation militaire + formation métier
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Affectation en unité